Dubaï fascine par ses contrastes : entre les ruelles étroites de la vieille ville et les tours vertigineuses du centre, chaque coin de rue semble raconter une autre histoire. Ce petit ensemble d’images, réalisées sans autre ambition que celle de garder une trace, tente de saisir un peu de cette complexité. Scènes de rue, jeux de lumière, détails aperçus au hasard : la photographie devient ici un simple carnet visuel. À Abou Dabi, la grande mosquée Sheikh Zayed impressionne par sa blancheur et son calme presque irréel.
En chemin, une halte au Louvre Abou Dabi a offert un moment suspendu : un lieu étonnant, où l’architecture parle autant que les œuvres. Ce regard amateur ne cherche pas à tout dire, encore moins à tout comprendre, mais simplement à capter ce qui a ému, surpris, ou troublé. C’est une collection d’instants, fragile et subjective, comme tout carnet de voyage.

















